Mémoire militaire. Chronique 1921-1930 (Article)
CHRONIQUE 1921 - 1930
1921
25 janvier 1921
Mémoire. 1ere GM. Soldat inconnu.
Lors d’un conseil des ministres, le ministre de l’Instruction publique Léon BERARD soumet les travaux d’aménagement à accomplir pour pouvoir procéder à l’inhumation du Soldat inconnu.
Une réunion avec le ministre de la Guerre Louis BARTHOU, le ministre des Pensions André MAGINOT et le ministre de l’Instruction publique organise la cérémonie d’inhumation du Soldat inconnu.
28 janvier 1921
Mémoire. 1ere GM. Soldat inconnu.
A Paris, inhumation du Soldat inconnu dans son caveau sous l’Arc de Triomphe.
La cérémonie se déroule en présence des membres du gouvernement, de LLOYD-GEORGE Premier ministre anglais, des 3 maréchaux (JOFFRE, FOCH et PETAIN), de nombreux généraux, veuves et orphelins. Une Garde d’honneur composée d’un millier d’hommes provenant des différentes armes est présente.
Le cercueil est décoré de la Légion d’Honneur, de la médaille militaire et de la Croix de guerre 1914-1918 avec palme avant d’être descendu dans le caveau.
LLOYD-GEORGE jette alors un œillet avec l’épitaphe « In Gratitude to the braves soldiers of France who saved civilisation by their sacrifices.
A partir de ce moment, la tombe devient rapidement un lieu de recueillement et de prière.
29 mars 1921
Mémoire. 1ere GM. Soldat inconnu.
Le journal « L’Intransigeant » reprend à son compte l’idée du sculpteur Grégoire CALVET de placer au sommet de la voûte de l’Arc de Triomphe de placer une ampoule électrique pour projeter une lumière bleue et indiquer ainsi la tombe du soldat inconnu.
Avril 1921
Mémoire. 1ere GM
Le wagon de la clairière de Rethondes (60) dans lequel a été signé l’armistice du 11 novembre 1918, est installé dans la cour d’honneur des Invalides à Paris. Il y restera jusqu’en avril 1927.
8 mai 1921
Mémoire. 1ere GM
-
Forcalquier (04), inauguration du monument aux morts, œuvre des sculpteurs Charles marquis d'AUTANE et Victor MARTEL.
10 juillet 1921
Mémoire. 1ere GM
-
Agnat (43), inauguration du monument aux morts.
1er novembre 1921
Mémoire. 1ere GM
-
Redon (35), inauguration du monument aux morts. D’un coût de 52500 francs, il est l’oeuvre du sculpteur Frédéric Nathan Nussbaum dit Eric de Nussy.
2 novembre 1921
Mémoire. 1ere GM
-
Gex (01), inauguration du monument aux morts, œuvre du sculpteur lyonnais François CLEMENCIN. Ce monument représentant un poilu victorieux sur un blindé ennemi fut emmené comme trophée durant l'occupation puis détruit à la fin de la 2e Guerre mondiale.
L'ensemble a coûté 77.500 francs.
1922
28 février 1922
Législation. Loi relative aux actes de décès des militaires et civils « morts pour la France » (JO du 1er mars 1922). (Voir texte dans Documents (20-6))
11 juin 1922
Mémoire. 1ere GM
-
Tournon sur Rhône (07), inauguration du monument aux morts d’un coût de 45.190 francs. Il est l’oeuvre du sculpteur Antoine Sartorio et de l’architecte Paul Tournon.
14 Juillet 1922
Mémoire. 1ere GM
-
Gisors (27), inauguration de plaques portant le nom des victimes de la guerre. Il existe aussi un monument mais sans noms.
15 juillet 1922
Législation. Mémoire. Monument aux morts. Décret accordant désormais compétence aux Préfets pour statuer sur les érections de monuments aux morts.
30 juillet 1922
Mémoire. 1ere GM
-
Allegre (43), inauguration du monument aux morts en présence du sous-secrétaire d’Etat à l’aéronautique Mr Laurent Eynac. Le coût de ce monument est de 19.500 francs. Le même jour, inauguration d’un deuxième monument aux morts au centre du cimetière pour un coût de 12.178,65 francs.
20 août 1922
Mémoire. 1ere GM
-
Aiguilhe (43), inauguration du monument aux morts en présence du sous-secrétaire d’Etat à l’aéronautique Mr Laurent Eynac.
5 septembre 1922
Législation. Mémoire. Monuments aux morts. Circulaire du Ministère de l’instruction publique et des Beaux-Arts rappelant aux Préfets la réglementation en matière de monuments historiques et son application aux monuments aux morts.
2 octobre 1922
Législation. Mémoire. Monuments aux morts. Circulaire du Ministère de l’Intérieur sur la prohibition des monuments aux morts fabriqués en Allemagne.
24 octobre 1922
Mémoire. 1ere GM. Date commémoration.
La date de la cérémonie en hommage aux morts de la 1ere Guerre mondiale, fixée au 1er ou 2 novembre par la loi du 25 octobre 1919 est désormais fixée à la date du 11 novembre. A cette occasion cette date devient aussi un jour férié.
1er novembre 1922
Mémoire. 1ere GM
-
Saintes (17), inauguration du monument aux morts pour un coût de 61.914 francs. Il est l’oeuvre du sculpteur Emile Peyronnet et de l’architecte Georges Baustert.
11 novembre 1922
Mémoire. 1ere GM
-
Montluçon (03), inauguration du monument aux morts, œuvre du sculpteur Hippolyte Galy. Le modèle en plâtre de la sculpture fut présenté en 1921 à Paris au salon de la société des artistes français. Une réplique fut exécutée pour le monument de Pointe à Pitre (Guadeloupe).
18 novembre 1922.
Législation. Décret sur les monuments aux morts. (Voir texte dans Documents (20-6))
19 novembre 1922
Mémoire. 1ere GM
-
La Rochelle (17), inauguration du monument aux morts pour un coût de 150.000 francs oeuvre du sculpteur Joahim Costa et des architectes Jean Beraud et Charles Bunel.
autres événements de 1922
Mémoire. 1ere GM
A Vervins (02), inauguration du monument aux morts œuvre du sculpteur J Gauthier .
1923
4 mars 1923
Mémoire. 1ere GM
-
Alleyras (43), une délibération du Conseil municipal autorise l’édification d’un monument aux morts pour la somme de 14.000 francs.
17 juin 1923
Mémoire. 1ere GM
-
Mayenne (53), inauguration du monument aux morts. D’un coût de 25600 francs, il est l’oeuvre du sculpteur Pierre Charron. Mais ce monument s’étant dégradé assez rapidement, la municipalité le transfère dans le cimetière en 1936.
30 juin 1923
Législation. Mémoire. Monuments aux morts.
Loi exemptant, par son article 12, de toutes taxes et impôts la totalité des actes concernant l’érection des monuments aux morts et par l’article 13, la possibilité de concessions gratuites par l’Etat aux communes, de terrains de son domaine privé pour l’édification de monuments aux morts.
2 juillet 1923
Législation. Mémoire. Loi perpétuant le nom des citoyens morts pour la Patrie.
« Article Premier. Au cas ou le dernier représentant mâle d’une famille, dans l’ordre de la descendance, est mort à l’ennemi sans postérité, le droit de relever son nom en l’ajoutant au sien appartient au plus proche de ses successibles et, si celui-ci ne l’exerce pas, aux autres successibles dans l’ordre légal, jusque et y compris le sixième degré, lors de son décès vivant agissant tant pour eux que pour leurs enfants nés ou à naître.
Pour exercer, le demandeur devra se pourvoir par voie de requête devant le Tribunal civil du lieu d’ouverture de la succession s’il est majeur, dans les deux ans de l’établissement ou de la transcription de l’acte de décès du défunt sur les registres de l’Etat civil ou de la promulgation de la présente loi si l’acte de décès a été dressé ou transcrit ; s’il était mineur dans les deux ans qui suivront sa majorité, si, d’ailleurs, ce droit n’a pas été revendiqué au cours de sa minorité par ses représentants légaux.
Art 2. La requête est déposée au greffe ; copie en est affichée pendant trois mois dans l’auditoire du Tribunal, ainsi qu’à la mairie du dernier domicile du défunt et à la mairie du domicile du demandeur à la diligence des procureurs de la République.
Passé ce délai, aucune opposition ne sera plus recevable.
Dès l’expiration du délai de trois mois et si aucune opposition n’a été formée, le Tribunal en Chambre du Conseil, sur les justifications qui lui seront apportées, ordonnera la rectification des actes de l’Etat civil, qui sera poursuivie à la diligence du procureur de la République.
Art 3. Au cas d’opposition, il est statué que le Tribunal civil siégeant en audience publique, le Ministère public entendu.
La requête qu’il y ait ou non opposition, peut être rejetée, même d’office pour des motifs tirés de la volonté expresse ou tacite du défunt ou de l’indignité du requérant.
Art 4. Tout individu s’il est dans l’ordre de la descendance le dernier représentant mâle d’une famille peut, en prévision du cas où il serait tué à l’ennemi, sans postérité, transmettre son nom patronymique par disposition de dernière volonté à l’un des parents au degré successible même appelé à sa succession.
Cette disposition étant acceptée a pour effet d’exclure tous autres ayants droits aux termes de l’article 1.
La personne désignée par le testateur devra exercer son droit dans les délais et sous les conditions déterminées par les articles précédents
Le présent article est rétroactivement applicable dans les conditions prescrites aux dispositions de dernière volonté par lesquelles un soldat « Mort pour la France » aurait, depuis le 1er août 1914 déclaré vouloir transmettre son nom. »
15 juillet 1923
Mémoire. 1ere GM
-
Saint-Brieuc (22), inauguration du monument aux morts. D’un coût de 96000 francs, il est l’oeuvre du sculpteur Francis Renaud.
23 juillet 1923
Mémoire. 1ere GM. Soldat inconnu.
Le conseil municipal de Paris adopte l’idée d’un conseiller municipal qui propose que deux candélabres soient allumés sous l’Arc de Triomphe au cours de la nuit de la Toussaint, ceci afin de rendre hommage au Soldat inconnu.
13 octobre 1923
Mémoire. 1ere GM. Soldat inconnu.
Dans le journal « L’Intransigeant », un article du journaliste Gabriel Boissi suggère d’installer une flamme permanente sur la tombe du soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe.
14 octobre 1923
Mémoire. 1ere GM. Soldat inconnu.
De nombreux journaux reprennent et soutiennent l’idée de flamme du souvenir sur la tombe du soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe.
28 octobre 1923
Mémoire. 1ere GM
-
Laval (53), inauguration du monument aux morts. D’un coût de 98236 francs, il est l’oeuvre du sculpteur Albert Bourget et de l’architecte Hyacinthe Perrin. Il est le résultat d’un concours organisé par la commune du 30 octobre 1919 à la fin du mois de février 1921.
1er au 2 novembre 1923
Mémoire. 1ere GM. Mémoire Soldat inconnu.
Dans la nuit, la tombe du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe est éclairée par deux candélabres.
11 novembre 1923
Mémoire. 1ere GM. Soldat Inconnu
Cérémonie à l’Arc de Triomphe pour l’inauguration d’une flamme perpétuelle sur la tombe du Soldat inconnu.
436 drapeaux de régiments dissous, des élèves des grandes écoles militaires, des aveugles de guerre, des grands mutilés, des anciens combattants, des pupilles de la nation, les maréchaux Foch et Pétain, le général Lyautey, le général Pershing sont présents.
L’œuvre qui signale la tombe se compose d’une rosace en bronze large de 4,50 m décorée de glaives entrelacés de lauriers. Au centre se trouve une buse de canon de 35 cm de diamètre qui sert de brûloir. La flamme est alimentée par un réservoir d’essence placé dans l’un des piliers de l’Arc à 8m de haut.
La flamme est allumée pour la première fois à 18 heures.
Novembre 1923
Mémoire. 1ere GM. Soldat inconnu.
Fondation de l'Union d'associations « La flamme sous l'Arc de Triomphe », chargée raviver chaque jour à 18h30 la flamme sur la tombe du soldat inconnu. Elle rassemble plus de 700 associations d'anciens combattants.
9 décembre 1923
Mémoire. 1ere GM
-
Lisieux (14), inauguration du monument aux morts. Il est l’oeuvre du sculpteur Georges VEREZ et des architectes Albert Le MONNIER et Fernand VAUDRY. La municipalité avait organisé un concours de février au 30 avril 1921 où seul les artistes natifs des 5 départements normands pouvaient concourir. D’un coût de 100.800 F, le Carmel Sainte Thérèse à offert une participation de 20.000 francs.
1924
6 juillet 1924
Mémoire. 1ere GM
-
Beauvais (60), inauguration du monument aux morts en présence du maréchal Foch.
13 juillet 1924
Mémoire. 1ere GM
-
Reims (51), inauguration du monument aux morts « Aux héros de l’armée noire »
9 novembre 1924
Mémoire. 1ere GM
-
Saint-Nazaire (44), inauguration du monument aux morts. D’un coût de 67000 francs, il est l’oeuvre du sculpteur Siméon Foucault et de l’architecte Marcel Théodore Chaney. Ce monument sera détruit par les Allemands sous l’occupation.
Autres événements de 1924.
Mémoire. 1ere GM
A Bellay (01), inauguration du monument aux morts, œuvre de l'architecte Tony Ferret et du sculpteur André Cesare Vermare.
1925
29 mars 1925
Mémoire. 1ere GM
-
Moulins (03) , inauguration du monument aux morts, œuvre du sculpteur Charles Henri Pourquet et de l'architecte Pierre Mouret. Pour la réalisation de ce monument la municipalité organisa un concours à 2 tours du 9 octobre 1923 au 30 janvier 1924. 37 projets furent présentés. Au cours de la réalisation, l'architecte proposa de couler la figure de pleureuse en bronze pour la mettre en valeur, mais la municipalité refusa à cause du surcoût.
Législation. Mémoire. Monument aux morts. Loi article 142, supprimant totalement les subventions de l’Etat attribuées aux communes par la loi de finance du 31 juillet 1920.
21 mai 1925
Mémoire. 1ere GM
-
Arras (62), inauguration du monument aux Instituteurs du Pas de Calais morts pour la France.
28 juin 1925
Mémoire. 1ere GM
-
Rodez (12), inauguration du monument aux morts. D’un coût de 139.102 francs, il est l’œuvre du sculpteur Denys Puech et de l’architecte Alphonse Saumet. Denys Puech se fit payer uniquement les frais engagés et ne prit aucun bénéfice pour lui-même.
5 juillet 1925
Mémoire. 1ere GM
-
Bourg en Bresse (01), inauguration du monument aux morts œuvre de l’architecte Royer et du sculpteur Alphonse Muscat.
4 octobre 1925
Mémoire. 1ere GM
-
Bully les Mines (62), inauguration devant l’entrée de la fosse n°1 d’un monument à la mémoire du soldat Fernand Marche du 130e RI. Le 1er août 1916 à Verdun, le soldat Fernand Marche se porte volontaire pour porter un pli extrêmement important au colonel du régiment. Grièvement blessé par un éclat d’obus, il réussit à se traîner jusqu’à un chemin où il meurt couché sur le dos, le bras raidi vers le ciel en tenant dans la main le pli afin qu’il soit retrouvé et tout de même transmis, ce qui sera finalement le cas. Fernand Marche était mineur depuis l’âge de 13 ans. Il reçoit la médaille militaire à titre posthume le 2 octobre 1920. Ce monument est l’œuvre du sculpteur parisien Armand Roblot. Il est situé actuellement à l’entrée du square Henri Darras.
1er novembre 1925
Mémoire. 1ere GM
-
Gap (05), inauguration du monument aux morts d’un coût de 83. 600 francs, oeuvre du sculpteur Eugène Girault et de l’architecte Julien Le Guen. Ce monument est issus d’un concours organisé par la municipalité au début de l’année 1923. Le projet fut classé second mais obtint la commande après des modifications.
8 novembre 1925
Mémoire. 1ere GM
-
Mauriac (15), inauguration du monument aux morts. Il est l’oeuvre du sculpteur Louis Armand BARDERY et de l’architecte COULON. Il a coûté 48.000 francs.
1926
11 novembre 1926
Mémoire. 1ere GM
-
Angoulême (16), inauguration du monument aux morts. Il est l’oeuvre du sculpteur Emile PEYRONNET et de l’architecte Roger BALEIX. Ce monument fut érigé à la suite d’un concours organisé par la municipalité. Etrangement le projet retenu n’arriva que quatrième et dernier, le concours ayant été reporté par le sculpteur René PAJOT. Le coût du monument est de 140.000 francs.
19 décembre 1926
Législation. Anciens Combattants. Législation.
L’article 101 de cette loi créé l’Office National du Combattant qui regroupe
- l’Office national des mutilés (Loi du 2 janvier 1918)
- L’Office national des Pupilles de la Nation (Loi du 27 juillet 1917)
1927
31 juillet 1927
Mémoire. 1ere GM
-
Saint Quentin (02), inauguration du monument aux morts sous la présidence du général Débeney chef d’état-major des armées. Il est l’œuvre de l'architecte Paul Bigot et des sculpteurs Henri Bouchard et Paul Landowski.
2 octobre 1927
Mémoire. 1ere GM
-
Vouziers (08), inauguration du monument aux morts. Il est l’oeuvre du sculpteur Firmin MICHELET et des architectes Victor LESAGE et Charles MILTGEN. Il a coûté 37.000 francs.
11 novembre 1927
Mémoire. 1ere GM
Dans la clairière de Rethondes (60), lors des cérémonies commémorant l’armistice de 1918, inauguration du wagon dans lequel fut signé cet armistice.
Placé auparavant dans la cour d’honneur des Invalides à Paris, il a été déplacé grâce à la persévérance du député maire de Compiègne Robert Fournier Sarlovèze et restauré grâce à la générosité d’un américain Arthur Henry Fleming.
1928
4 juillet 1928
Mémoire. 1ere GM
-
Marne la Coquette (92), inauguration du mémorial de l’escadrille La Fayette. Sur les 68 tombeaux, 3 sont vides, 2 pour les aviateurs disparus, et 1 pour le pilote Victor Chapman inhumé à Romagne sous Montfaucon (55).
11 novembre 1928
Mémoire. 1ere GM
-
Béthune (62), inauguration du monument aux morts par le maire M Ponnel. Le projet du marbrier Alleman et de l'architecte Boutry retenu le 12 juillet 1927 a coûté 99777,38 francs.
Autres événements de 1928.
-
Craonnelle (02), inauguration d’un monument à la mémoire des soldats de la 36e DI composée essentiellement de Basques. Le sculpteur Claude Grange a choisi de représenter un paysan du Sud-Ouest en costume traditionnel coiffé d’un béret basque.
1929
Mai 1929
Mémoire. Souvenir français.
-
Arras (62). Le monument du Souvenir français qui était situé Boulevard Carnot est déplacé au cimetière.
1930
1er juin 1930
Mémoire. 1ere GM
-
Reims (51), inauguration du monument aux morts par le ministre de la Guerre André Maginot en présence du maréchal Pétain, de Paul Marchandeau député maire de Reims et du cardinal Luçon archevêque de Reims. Conçu par l'architecte Henri Royer, la statuaire est due au sculpteur Paul Lefevre. Henri Royer avait remporté un concours restreint organisé par la ville l'année précédente. La ville de Reims avait perdu durant la guerre 4567 militaires et 740 victimes civiles du fait des bombardements allemands.
6 juillet 1930
Mémoire. 1ere GM
-
Rethel (08), inauguration du monument aux morts. Il est l’oeuvre des sculpteurs Stanislas MARTAUGEN et Gabriel PARIS, des architectes Henri GIRAUD et Pierre LOUPOT.
Ce monument est réalisé à la suite de l’organisation d’un concours.
Date de création : 12 janvier 2023Mémoire militaire