Par Grégory Chestakov.
En réaction à l’architecture soviétique officielle, massive et austère, l’artiste russe peint des « maisons biscornues et colorées », plus proches de la nature et du plaisir des hommes. A la manière d’une tapisserie, il occupe toute la surface, sans cadre et sans frontière, afin que le regard circule librement dans sa cité idéale.
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